Aujourd’hui, avec les Internets, on ne peut plus dire qu’on n’avait pas accès à l’information. Ton discours peut être validé, discuté, contre-balancé, dénoncé par n’importe qui et n’importe où. Quelle chance pour le débat, l’ouverture et le développement des connaissances et des pratiques.
Alors quand SOS Faim commande une étude sur l’implication des banques belges dans la spéculation sur les produits agricoles, nous voilà avec une source d’information non négligeable et des outils pour poser ses choix.
Je découvre ainsi que mon banquier, Monsieur Jadot, est un des plus mal élevé de sa classe. Je lui ai donc envoyé un courrier (et je vous encourage à faire de même). Dommage qu’on ne puisse pas écrire à sa mère.